L'OMS, la grippe A et le fric des laboratoires
Et un mystère de plus, dans cette panique montante sur la grippe A !
Alertée par
un virologue américain, Tom Jefferson, la presse allemande est en train de lever
un drôle de lièvre, qui pourrait bien nourrir les débats de la rentrée. Elle
relève l'étrange modification par l'OMS de sa définition de la "pandémie". En
substance, auparavant, il fallait "de nombreux morts" pour que l'on puisse
parler de pandémie. Or l'OMS vient de modifier en catastrophe cette définition.
Exit la nécessité des "nombreux morts". Simple querelle sémantique ? Peut-être.
Mais ce n'est pas l'avis de certains scientifiques, comme Jefferson, qui
décèlent sous ce changement un coup de pouce donné par l'OMS à l'industrie
pharmaceutique (dont elle a besoin pour financer ses actions) pour écouler
davantage de vaccins. La grande chaîne publique ZDF, l'hebdomadaire Der Spiegel,
ont ouvert le dossier. Accusation fondée ou non ? On aimerait que les
spécialistes médicaux des médias français nous aident à y voir plus clair.
Malheureusement, les médias français n'ont jamais entendu parler du docteur
Jefferson. Cela viendra sûrement bientôt.
Les pièces du dossier sont ici
source La gazette d'arrêt sur images, n° 88