Ecoutez les paroles de cette chanson

clichés empruntés sur Etoile touarègue 

Comments

[suzie]

Souchon est un peu un mystère pour moi : il a une image de chanteur "léger", tout simple, agréable à écouter et ... à oublier, et puis tout à coup, une chanson forte, et c'est un autre Souchon !

[rogers]

j'adore souchon ... mine de rien , écoutons le , ça nous rend meilleur ? ou seulement le sentiment d'être meilleur ?

[suzie]

Merci dima, je recupere tes notes. J'en parlerai lorsque je ferai des interventions sur les droits des femmes (collèges et lycées). Un bon (si l'on peut dire!) exemple pour expliquer qu'il n'est pas forcément bon de suivre la tradition.

[dima]

Je l'ai vu et les infos principales sont que :

1- une femme maigrichonne (comme il est dit dans le reportage) est considérée issue d'une classe sociale pauvre et donc plus on est en chair plus on est considérée d'un milieu aisée.

2- Des hommes mauritaniens préférent des femmes rondes pour le mariage.

3- une association de femmes là bas se bat contre le gavage comme contre l'excision et donc elles font le porte à porte pour expliquer que le gavage peut causer des maladies ultérieurement.

4- Il y a une scéne d'à peu prés 5 minutes chez un médecin mauritanien qui explique que beaucoup de femmes gavées pendant leur enfance (à partir de 10 ans) souffrent des troubles cardiaques et des maux au niveau des articulations.

5- Quand la maman veut gaver sa fille, elle met un gros morceau de baton sur son pied et appuie sur le baton lui meme (ce qui fait souffrir la fille) pour l'obliger à boire du lait de chamelle ou de vache en quantité.

6- les jeunes filles mauritaniennes d'aujourdhui, un certain nombre d'entre elles, commencent à se rebiffer contre cette pratique.

[suzie]

J'ai voulu regarder mais je suis d'abord tombée sur le reportage "divorces" et j'ai eteint la tele, j'ai fait autre chose et j'ai oublié. Mais je garde l'info. dans un coin de ma petite cervelle. ça alimente (sans jeu de mots) le constat que les maux et servitudes des femmes sont bien souvent transmis par ... les femmes. (à cause du poids de la tradition et de la soumission bien sûr, mais quand même)